Bharti Kher is a leading indian artist. At the moment, there is a few of her works shown in the exhibition « The Empire Strikes Back : New Art From India » at the Saatchi gallery. Bindis are her favorite material. She uses them on the inside walls of a wooden hut, anatomical drawing plates, and on mirrors. The latter are displayed on the top floor of the gallery. They’re arranged in a kind of magical way, all around the room, the viewer is surrounded by them. The mirrors are broken. Bharti Kher puts bindis on them, in a variety of sizes and colours, creating a wide range of patterns. The glass cast shadows on the wooden floor, lights and colours are mixing, producing a unique atmosphere. The broken mirror is sign of bad luck. The bindi represents one’s individuality. The mix of both offers an interesting contrast : can you fix a broken mirror with bindis ? The artist evokes one’s ability to determine one’s life. In the garden, Choleric, phlegmatic, melancholy, sanguine, a terribly beautiful sculpture represents the hindu goddess Kali (pictured). Until may 15th.
L’artiste indienne, aussi exposée au sein de l’exposition « The Empire Strikes Back : New Art From India » tient la vedette chez Hauser & Wirth. Son matériau favori, les bindis, est repris pour tapisser l’intérieur d’une cabane de bois, des planches d’anatomie féminine, ou encore des miroirs. Ceux-ci sont présentés au dernier étage de la galerie, dans un accrochage presque magique. Ils sont accrochés tout autour de la salle, sur chaque mur, le spectateur est entouré par l’installation. Bharti Kher colle sur ces miroirs brisés des bindis de tailles et couleurs variées, créant une large palette de motifs. La surface de verre projette des reflets sur le parquet, le jeu des couleurs et de la lumière crée une atmosphère unique. Le miroir brisé, mauvais présage, et les bindis, symboles du karma individuel, offrent un intéressant contraste autour de la destinée humaine. Peut-on réparer un miroir brisé avec des bindis ? L’artiste questionne le potentiel de détermination humain. Dans le jardin, une statue terriblement belle représente la déesse Hindu Kali intitulée Choleric, phlegmatic, melancholy, sanguine (photo). Jusqu’au 15 mai.
http://www.hauserwirth.com/exhibitions/503/bharti-kher-inevitable-undeniable-necessary/view/
L’artiste indienne, aussi exposée au sein de l’exposition « The Empire Strikes Back : New Art From India » tient la vedette chez Hauser & Wirth. Son matériau favori, les bindis, est repris pour tapisser l’intérieur d’une cabane de bois, des planches d’anatomie féminine, ou encore des miroirs. Ceux-ci sont présentés au dernier étage de la galerie, dans un accrochage presque magique. Ils sont accrochés tout autour de la salle, sur chaque mur, le spectateur est entouré par l’installation. Bharti Kher colle sur ces miroirs brisés des bindis de tailles et couleurs variées, créant une large palette de motifs. La surface de verre projette des reflets sur le parquet, le jeu des couleurs et de la lumière crée une atmosphère unique. Le miroir brisé, mauvais présage, et les bindis, symboles du karma individuel, offrent un intéressant contraste autour de la destinée humaine. Peut-on réparer un miroir brisé avec des bindis ? L’artiste questionne le potentiel de détermination humain. Dans le jardin, une statue terriblement belle représente la déesse Hindu Kali intitulée Choleric, phlegmatic, melancholy, sanguine (photo). Jusqu’au 15 mai.
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